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Grâce à leurs performances exceptionnelles, les infrastructures de recherche partagées par les scientifiques permettent de mener des avancées remarquables dans de nombreux domaines. L’ampleur des enjeux scientifiques et technologiques, ainsi que les coûts de construction et d’exploitation de ces infrastructures, requièrent une collaboration et des moyens humains et financiers importants, très souvent internationaux. Le ministère de lʼEnseignement supérieur, de la Recherche et de lʼInnovation distingue quatre types d’infrastructures selon leur caractère national ou international, leur mode de gouvernance et leur soutien budgétaire :

  • les organisations internationales (OI) fondées sur une convention intergouvernementale,
  • les très grandes infrastructures de recherche (TGIR) relevant d’une stratégie gouvernementale (c’est le cas des installations synchrotron ESRF et SOLEIL, du laser à électrons libres E-XFEL, des sources de neutrons ILL et ESS ou encore de l’accélérateur GANIL). Consultez ici l'information officielle du gouvernement sur les TGIR.
  • les infrastructures de recherche (IR) mises en oeuvre directement par le CNRS et ses partenaires (c’est le cas du réseau de microscopes électroniques et sondes atomiques METSA et du réseau d’installation RMN). Consultez ici l'information du CNRS concernant les IR.
  • les projets n’ayant pas encore atteint leur pleine maturité.